Le bus vers Vancouver

Des hydravions euh... volants?

Des maisons flottantes...

Une petite cabane au coin d'une rue, une chanteuse qui chante affreusement mal et des gens heureux comme s'ils étaient seuls au monde. C'est l'esprit d'ici, du bonheur tout simple, à la bonne franquette.

Coucou; elles sont drôles ces oies.

A Victoria, il y a des tonnes d'hydravions, et on les a tous regardés.
De quoi rendre mon Begos heureux je crois.
Moi je l'étais.

A notre premier jour après avoir fait un vol de 6h et vu les services d'urgence d'un bout à l'autre du pays pour le doigt qu'O. s'était coupé jusqu'a l'os avant notre vol et avoir marché loooongtemps, épuisés, vers le Peter's Bar and Grill qui n'en finissait plus de s'annoncer et d'être loin, nous nous sommes écroulés dans notre tente sans poteau (oui, on avait oublié les poteau de tente à Montréal) montée de façon très inventive avec une corde et des arbres comme soutien.

Des iles magnifiques que nous n'avons malheureusement pu voir que superficiellement, faute de temps. Et des gens excessivement incroyablements gentils, tout tranquilles, qui nous offraient lifts et visite de leur ville sans que nous demandions quoi que ce soit.